Choisir le vêtement en fonction de la pratique

Si la course à pied consiste à faire du jogging, dans ce cas, le coureur va surtout pratiquer sur des terrains qui ne sont pas très difficiles. Le footing se pratique alors de manière modérée et peut ne pas se faire au quotidien. Le but du jogging étant de garder la forme et de se remotiver. Le type de vêtement à enfiler va dans ce cas dépendre de la météo. En été, il faut un t-shirt et un short. En hiver, il faut un pantalon avec un coupe-vent. On peut rajouter une casquette s’il y a beaucoup de soleil, et des gants et bonnets s’il y a de la neige.

Si la course à pied consiste à faire du running, la pratique est un peu plus intense. Il est recommandé à ceux qui cherchent à gagner en performance et à la maintenir. Pour faire ce sport, en période de grand soleil, il faut enfiler un t-shirt très respirant ou un débardeur, avec un short. Il faut éviter les vêtements fabriqués en coton. En hiver, un t-shirt respirant près du corps doit être enfilé. Par-dessus, il faut un autre t-shirt à manches longues. En période de pluie, rajoutez un coupe-vent ou un survêtement imperméable.

Si la course à pied consiste à faire un trail, la pratique s’effectue sur des terrains accidentés et plus intenses. En fonction de la saison, vous devez mettre les mêmes vêtements qu’en running, mais rajoutez un cuissard et un corsaire. Mettez aussi une casquette respirante.

Les règles à considérer dans le choix du vêtement de course à pied

Quel que soit l’exercice à faire, il est important de respecter les règles qui suivent avant d’acheter vos vêtements de course à pied. Il est important que vous choisissiez un habit respirant. Avec un vêtement technique de chez brubeck.fr, vous n’aurez pas de malaise durant vos séances de course à pied étant donné que ce type d’habit est très respirant et permet d’éliminer parfaitement la transpiration. Il faut également choisir des vêtements qui n’ont pas de coutures, ou avec un minimum de coutures. Cela permet d’avoir un maximum de confort, d’éviter les effets gênants et les frictions pouvant être causés par les coutures. Enfin, privilégiez les vêtements de compression qui oxygènent mieux les muscles et qui évitent leur vibration et limitent les risques de crampes.

Courir pieds nus ou en converse

Le confort est le maître mot si vous voulez réussir le running et être en bonne santé. Dites adieu à vos converses et à vos belles baskets et mettez des chaussures confortables et spécialement conçus pour la course. Attention ! Contrairement aux idées reçues, courir pied n’est en aucun cas bénéfique pour la santé, cela augmente le risque de blessure surtout pour les personnes souffrant de l’aponévrosite plantaire. Alors, mettez votre chaussure de course avant de partir.

Sauter l’échauffement

Vous êtes tellement enthousiastes que vous décidez de courir à grande vitesse sans échauffement ? Faites gaffe au crampe et à l’arrêt subite du myocarde. Il est très dangereux d’entamer un exercice physique sans échauffement. Etape incontournable, l’échauffement permet à vos muscles, à vos systèmes cardiovasculaires, respiratoires et nerveux de se tenir prêt à l’effort. Il permet également une bonne circulation sanguine.

Accélérer brutalement la vitesse

Désireuse de lancer le défi, vous imitez les vitesses des coureurs professionnels ? Erreur, il faut construire de base solides et de fortes expériences avant de faire des marathons. Rangez votre chrono et entrainez-vous petit à petit pour que votre corps puisse supporter des lourdes charges d’exercices physiques. Une à deux semaines ne suffira pas pour égaler la vitesse de Dennis Kimetto, le sixième record du monde du marathon en Allemagne.

Adopter un long parcours et abuser de l’entrainement

Ne placez pas la barre trop haute et adoptez un parcours et un entrainement qui s’adapte à votre force. L’idéal c’est de vous entraîner au maximum trois fois par semaine ou 2h40 minutes. Cela permet largement à votre corps de s’épanouir et d’avoir des meilleures performances pour votre prochaine compétition.

Etre en carence alimentaire

La pratique d’un exercice sportif nécessite une alimentation saine et équilibrée pour mieux répondre aux besoins de l’organisme soumis à forte épreuve. Vous devez bien vous hydrater et consommer des aliments riches ne protéines et en vitamine C comme les poissons, les œufs et des produits laitiers. En aucun cas, vous ne devez négligés votre alimentation.

Les missions d’un médecin du sport

Les missions du médecin du sport consistent à prendre soin de l’athlète, de soigner ses blessures et le conseiller sur son hygiène de vie au quotidien. Il s’agit donc d’un spécialiste des affections développées par les athlètes comme les problèmes musculaires, les entorses, les problèmes articulaires, les fractures, etc. Cependant, son rôle ne se limite pas aux soins. Il s’occupe également d’aider le patient dans ses entraînements afin qu’il atteigne ses objectifs. C’est pourquoi il est en permanence en contact avec le sportif. De plus, le médecin du sport joue un rôle important dans le moral de l’athlète. Il doit l’aider à garder le moral, à rester optimiste et à ne pas baisser les bras ou déprimer. C’est pour cela qu’il l’assiste en permanence et luis donne des conseils au quotidien. Dans son travail, le médecin du sport collabore avec divers professionnels comme les kinésithérapeutes, les cardiologues, les nutritionnistes….

Les compétences requises pour devenir médecin du sport

Le médecin du sport doit être passionné de sport. Il doit connaitre tous les risques du sport, ce qui lui permet d’assister facilement le sportif et d’appréhender les éventuels accidents ou blessures. Il doit également connaitre à la lettre les gestes techniques concernant sa discipline. Enfin, il doit aussi avoir le sens de la pédagogie, de la psychologie et de la communication pour pouvoir comprendre facilement l’athlète et le guider.

Les formations à suivre pour devenir médecin du sport

Si ce métier vous intéresse, sachez que les formations à suivre sont identiques à celles d’un médecin généraliste, c’est-à-dire qu’au minimum, il doit faire 9 ans d’études pour obtenir un diplôme d’études spécialisées en médecine du sport. Pour devenir médecin du sport, préparez dès la terminale votre entrée en médecine. Prenez des cours de prépa en médecine sur Paris pour optimiser vos chances de réussite aux concours d’entrée à la fac.

Comment pratiquer un sport en fauteuil roulant ?

Avant tout, il est intéressant de noter qu’il existe des sports collectifs et individuels pour les personnes en fauteuil roulant. Les premiers permettent de développer le corps et de le tonifier, mais ils aident aussi à renforcer le moral de la personne qui peut avoir tendance à se renfermer sur elle-même en raison de son état de santé. Les seconds quant à eux constituent un excellent soutien au processus de rééducation.
Pour que la pratique d’un sport reste sans risque, il convient de le pratiquer à un rythme régulier et raisonnable. Pour les personnes qui sont paralysées, 30 minutes d’efforts suffisent pour maintenir sa forme physique. En revanche, pour celles qui peuvent un jour retrouver l’usage de leurs membres inférieurs, il est recommandé de procéder par étape en commençant par un quart d’heure d’effort. Elles peuvent ensuite augmenter l’intensité et la durée de l’effort en fonction de leur ressenti et de leur progression dans leur traitement.
Enfin, il est à noter qu’une personne en fauteuil roulant peut parfaitement s’entrainer ou jouer avec des individus qui ont l’usage de leurs jambes. Malgré tout, s’entrainer entre personnes en fauteuil peut se révéler intéressant pour le développement physique et psychologique de chacun.

Les sports à pratiquer

Les personnes en fauteuil peuvent se tourner vers le basketball ou le handball en guise de sport collectif. À noter d’ailleurs qu’il existe des fauteuils spécialement étudiés pour faciliter la pratique de ces sports. Du côté des sports individuels, on retrouve la course, le tennis et l’escrime.

S’échauffer avant tout

Avant de faire du sport, il est toujours recommandé de commencer par l’échauffement d’une durée de 5 à 10 minutes.

Il a pour objectif de préparer l’organisme à l’action. Chez les personnes âgées, l’échauffement est d’autant plus nécessaire. Pour augmenter la température musculaire, on peut courir à faible allure tout en évitant de se fatiguer.

Trouver sa cadence

L’endurance ne figure plus parmi les qualités des seniors. C’est ainsi qu’il est primordial lors de la pratique du sport de trouver son rythme. Le fait de vouloir aller plus vite ou plus fort pourrait occasionner de blessures graves.

Notons que pour les personnes âgées, il n’est plus question de battre un record, mais de garder le corps en activité. Ainsi le fait de trouver son propre rythme est indispensable pour la réussite de l’exercice.

Boire de l’eau régulièrement

Avec l’âge, la sensation de soif diminue. Ainsi pour éviter les risques de déshydratation, il est toujours conseillé de boire régulièrement. De plus, la déshydratation rend les muscles plus sensibles. De ce fait, boire régulièrement permet d’éviter les déchirures musculaires.

Au minimum, il est conseillé à un sportif âgé de boire au moins 1 litre d’eau par heure lorsqu’il réalise une activité sportive, et cela même si la sensation de soif ne survient pas.

La marche nordique

Pratiquée dans la neige avec des bâtons en fibre carbone, elle requiert le travail des bras, des pectoraux, des muscles fessiers et des épaules.

La cohérence des mouvements génère moins d’impacts grâce à la portée réalisée par les bâtons qui allègent nettement les charges supportées par les genoux. Des études ont montré que 15 minutes de marches nordiques rallongent la durée de vie de 3 ans.

Le yoga et le Tai Chi Chuan

Les exercices de yoga visent à harmoniser le corps et l’esprit. Le yoga réunit des enchainements posturaux doux associés à des techniques de respiration afin de viser le relâchement musculaire. Sur le long terme, la pratique du yoga permet de tonifier les organes internes et réduit la raideur des articulations.

En revanche, le Tai Chi Chuan est fortement conseillé pour les personnes âgées qui présentent des problèmes de santé comme l’arthrite. La pratique de ces exercices permet de tonifier les muscles et d’améliorer l’équilibre et la souplesse. De plus, elle permet aussi d’améliorer la coordination des mouvements. Ainsi, le tai-chi se compose de mouvements lents et fluides

Les activités aquatiques

Pour les seniors, il est recommandé de pratiquer la natation et l’aquagym. D’un côté, ils permettent de maintenir l’endurance du sujet et de l’autre côté de rendre les muscles plus souples.

Toutefois, il est primordial de garder un rythme doux. Faire de gros efforts dans un bassin rempli d’eau risque d’occasionner des problèmes cardio-vasculaires.
Bref, pour les seniors, il faut choisir des sports moins physiques et plus visés.

Les vêtements pour la musculation

Puisque la musculation est une activité qui vise le renforcement musculaire, il est fortement recommandé d’opter pour un tee-shirt manche courte.

Pour ce qui est du bas, un short pour les hommes et un caleçon pour les femmes sont conseillés. Le style peut cependant changer selon les envies et la saison.

Une tenue de type compressif s’impose pour ceux qui suivent un entrainement régulier afin d’avoir plus de performance. Celle-ci est efficace pour réduire la fatigue musculaire.
Sinon, le choix de la matière doit aussi être mûrement réfléchi. Le coton est le plus conseillé. Cette matière assure confort et aisance dans les mouvements.

Elle est aussi appréciée pour sa forte capacité à absorber la transpiration. Ainsi, la sensation d’humidité est nettement réduite.

Les accessoires de musculation

Les exercices de musculation requièrent l’utilisation de quelques accessoires. Ces dernières permettent de garantir des résultats positifs. Les accessoires indispensables varient en fonction des exercices à réaliser. Toutefois, des gants de musculation sont toujours indispensables.

Ils protègent efficacement les mains du sportif. De plus, ils assurent une meilleure adhérence des prises. Le port de ceintures de musculation est aussi nécessaire pour maintenir le dos.

Et, pour éviter de glisser durant les exercices, des chaussures de fitness permettent d’avoir plus d’équilibre et de tenue.

Le port des équipements de protection

Lorsqu’on roule à moto, le port d’équipement est indispensable d’un côté pour assurer la sécurité de la conduite et de l’autre pour optimiser le confort de la conduite. Sur route, le casque est obligatoire tant pour le pilote que pour le passager. Pour plus de sécurité, il est conseillé d’opter pour le casque intégral même s’il n’est pas très confortable. Pour protéger vos yeux, le port de lunettes est aussi nécessaire sauf si votre casque est équipé d’une visière.

Les gants de préférence en cuir permettent aussi de protéger les mains.
Pour une sécurité plus renforcée, il est recommandé de porter une veste en cuir, un pantalon fait en matière résistante et des chaussures.

En effet, à moto, les tongs ne sont pas adaptées, il est plus sage de porter des bottes en cuir.

Une conduite intelligente

Pour réduire les risques d’accident, il est toujours plus sage de conduire prudemment lorsqu’on roule à moto. En cas d’obstacle, il sera plus facile pour le pilote de freiner ou de changer de direction. Notons, par ailleurs, que dans les situations d’urgence, le processus de freinage n’est pas très facile à maîtriser. Avant de freiner, il faut regarder en hauteur et le plus loin possible.

De ce fait, il sera plus facile de prévoir le ralentissement. En cas d’obstacle, il faut garder en vue le point d’arrêt. De plus, la moto se dirige toujours vers la direction où vous regarder.
La position du corps doit aussi être bien étudiée. On doit en tout temps s’appuyer sur le repose-pied pour avoir un bon équilibre. Les genoux doivent être serrés pour optimiser la position d’équilibre. Ensuite, il faut garder les bras raides sur le guidon pour les éviter de glisser vers l’avant. Enfin, la vitesse doit être toujours ajustée surtout si vous conduisez par mauvais temps.

En effet, durant les pluies, la visibilité est réduite et les pneus manquent d’adhérence, ainsi, il est toujours plus sage de réduire son allure. De cette façon, le pilote maintient les distances de sécurité. Cela facilitera le freinage en cas d’obstacle.

Le surf affine la silhouette

Avant tout, le surf est une activité physique qui requiert la mobilisation de tout l’ensemble du corps. De ce fait, il permet de brûler les calories, agit positivement sur le corps et permet d’affiner la silhouette. De nombreuses stars ont adopté ce mode de vie pour avoir un physique parfait.

C’est le cas notamment de la célèbre actrice américaine Camerone Diaz. Pour ceux qui veulent perdre du poids, pratiquer le stand-up paddle grâce au travail intense des muscles dorsaux et des bras ainsi que des abdominaux est l’idéal.

Le surf donne du tonus

Le surf permet aussi de travailler le système cardio-vasculaire et l’endurance grâce à la réalisation d’exercice physique intense. De plus, le contact permanent avec l’eau marine permet de profiter de ses bienfaits.

En effet, les sels minéraux et les oligoéléments contenus dans l’eau de mer stabilisent le taux de magnésium dans l’organisme. En revanche, l’interaction du soleil et de l’eau marine agissent aussi sur les maladies de la peau.

Le surf permet de garder le sourire

Le surf est un sport qui procure des sensations fortes. Ainsi, quel que soit le niveau de celui qui le pratique, faire du surf restera toujours un moment propice pour rester joyeux. Pour garder le sourire, programmez des séances de surf durant vos vacances à la plage.

Par ailleurs, l’environnement marin agit aussi positivement sur le moral. En effet, les ions négatifs agissent comme des sédatifs sur l’organisme. Sinon, le fait de s’exposer au soleil permet aussi au surfeur de rester en bonne humeur. Enfin, faire du surf c’est aussi cool. Cela a même donné naissance au folklore de la cool attitude.

Des avantages incontestables

La pratique d’activité sportive tout au long de la grossesse apporte de nombreux avantages. Avant tout, cela limite la prise de poids qui accompagne l’évolution de la grossesse. Ensuite, la réalisation d’activité physique permet de mieux affronter le travail lors de l’accouchement.

En effet, grâce à l’effort physique réalisé durant la grossesse, les muscles sont plus détendus. Sur le plan psychologique, la pratique du sport tout au long de la grossesse réduit largement l’angoisse et le stress surtout si vous privilégiez les sports de détente comme le yoga et le tai-chi.

Les points de vigilance

Bien que la pratique de sport soit conseillée durant la grossesse, il faut rester vigilant sur quelques points. Avant de se mettre au sport, il est primordial de demander l’avis de son médecin. Par ailleurs, les sports qui requièrent des efforts trop intenses sont aussi déconseillés.

Cesser toutes activités lors d’une hausse de la fatigue

Ensuite, avant les séances, il faut toujours s’échauffer. En cas d’apparition de contraction ou de fatigue intense, l’arrêt des activités sportives est obligatoire.

Les sports recommandés

Pour les femmes enceintes, il est important de bien choisir le sport à pratiquer. Pour elles, il est recommandé de réaliser des activités douces qui favorisent la relaxation et améliorent au souffle. Suivant cette ligne d’idée, la marche à pied, la gymnastique, la natation, le yoga, l’aquagym et la danse figurent parmi les sports conseillés aux femmes enceintes.

Certaines femmes se plaisent aussi à faire du vélo. En revanche, au terme de la grossesse, il devient impossible de le pratiquer, car le gros ventre gêne la conduite.

Les sports interdits

En général, tous les sports qui impliquent de grands efforts physiques ou de chutes fréquentes sont déconseillés pour les femmes enceintes. C’est le cas notamment de l’équitation, du ski et des arts martiaux.

Sport intenses (tel que le football) sont déconseillés voir même interdits

De même, les sports entraînants des secousses fortes comme le tennis et le jogging sont déconseillés.